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Faisons simple : pour confectionner ce manteau, il nous faut de la laine, une doublure, des boutons et une étiquette.
Tous conçus en France, nobles et naturels, pour limiter les déplacements et donc l'impact environnemental.
Vous n'avez jamais été aussi proches de la provenance de l'ensemble des matières premières d'un vêtement !
J'ai la chance de pouvoir confectionner mes pièces en partenariat avec un atelier spécialiste du manteau.
Il s'appuie sur un savoir-faire traditionnel, reconnu par les plus grandes maisons depuis plus de 120 ans.
Une belle histoire familiale qui se trouve au cœur de l'Indre, chez Hervier Productions, que nous allons continuer d'écrire ensemble avec la famille Hervier, notamment Patrick, Véronique et leur fille Marion.
J'imagine donc le premier manteau entièrement français, vous permettant de réduire au minimum les distances entre son lieu de confection et d’utilisation.
Pour que votre achat ait une dimension à la fois sociétale et environnementale !
Le saviez-vous ?
Il ne faut pas moins de 15 artisans et 100 étapes pour obtenir chaque manteau !
Je vous propose 5 modèles de base, que vous pouvez adapter si vous le souhaitez avec 5 760 combinaisons (couleur, longueur, forme des épaules, des poches, du col, ...) à découvrir plus bas.
Pour un manteau unique qui vous convient vraiment.
Grâce aux déclinaisons pour s'adapter à vos attentes, il conviendra aux femmes et aux hommes.
Elle se fait à la demande, au travers d'une campagne de précommandes livrées pour l'hiver.
Je n'aurai donc aucune génération de stocks inutiles, qui impacteraient le tarif des manteaux.
Et la planète en évitant le gaspillage !
En adoptant la précommande, vous contribuez ainsi à un mode de consommation plus sain et responsable.
Grâce à vous, je reverserai à une association soutenant l’élevage paysan 50% du bénéfice obtenu si nous dépassons l’objectif de la campagne.
Pour que chaque mouton soit tondu avec autant d’amour que les miens !
Pour information, cet objectif correspondant à 50 manteaux représente le minimum de commandes nécessaires pour que mes partenaires acceptent le projet et vous mettent au chaud cet hiver.
Le reste sera utilisé pour financer la suite de l'aventure, notamment le développement de nouvelles pièces, selon vos retours.
Un petit retour en arrière s'impose.
À l’origine, le Loden est un tissu de laine imperméable typique des Alpes, utilisé depuis le Moyen-Âge pour la confection de manteaux.
Il a été démocratisé à la fin du XIXème siècle par l'empereur François-Joseph, qui adorait porter cette étoffe élégante, prisée ensuite par la noblesse.
Au départ gris, il devient blanc, noir, bleu marine, beige et enfin vert sombre, la couleur plus commune actuellement.
En voici d’ailleurs un exemple issu d’un catalogue de 1927.
Grâce à la structure de ses fibres en écailles, la laine peut stocker 80% de son volume en air, ce qui en fait un excellent isolant. La matière idéale pour un hiver au chaud !
Elle est également très respirante. L'humidité du corps est naturellement régulée, pour toujours conserver un niveau de chaleur optimal.
Fini la transpiration comme avec un manteau contenant du polyester.
Même sous la pluie, elle peut absorber plus de 30% de son poids en eau sans paraître mouillée, et cela en conservant son pouvoir isolant.
Au chaud et au sec !
Enfin, la laine est une fibre écologique naturelle, qui se renouvelle chaque année sur le dos du mouton.
Dernier détail important : une laine pure ne se lustre pas, c'est-à -dire qu'elle ne deviendra pas lisse et brillante, mais gardera son rendu naturel et texturé.
Il est primordial pour moi et pour les équipes de mon drapier Jules Tournier de le respecter.
Tout d'abord, il faut savoir que la tonte représente une étape nécessaire pour la santé et le bien-être du mouton, sans quoi sa laine serait trop lourde pour lui, et gênerait ses déplacements.
C'est également un acte permettant d'éviter l'apparition de parasites externes.
Un mouton tondu est un mouton heureux, et grâce à lui, nous sommes au chaud l'hiver !
Les nôtres sont tondus avec amour, dans le plus grand respect de la condition animale, certifiée par le label de référence mondiale GOTS.
J'ai choisi une laine généreuse et dense, avec un poids de
540 g/m² (soit 810 g/ml).
La grande majorité des marques haut de gamme s'arrêtent à 400 g/m², souvent pour des raisons de coût.
Pour vous, c'est donc plus de 30% de chaleur en plus !
Et le manteau restera confortable. Malgré son épaisseur, cette laine garde sa souplesse, qui va d'ailleurs s'accroître au fil des ports.
Pour affronter les pluies à venir, mon drapier a également appliqué un apprêt naturel et sans aucun danger, ce qui le rend légèrement déperlant.
Imaginez la parfaite enveloppe pour l'hiver, que ce soit sous les bourrasques de vent ou les averses intempestives.
Une dernière chose : cette laine a subi des tests pour éviter l'apparition de bouloches, ces petites boules de laine disgracieuses qui se forment sur les zones de frottements.
Cette fibre 100% naturelle est obtenue à partir de pulpe de hêtre, d'eucalyptus et de chêne de nos forêts, arbres ne nécessitant ni arrosage, ni pesticide.
Elle est récoltée sans détruire l'arbre, ni provoquer de déforestation : la certification d'État FSC le garantit !
Le Lyocell a même reçu une récompense de l'Union Européenne pour le respect de l'environnement lors de sa fabrication !
Cette fibre est connue pour posséder un toucher très proche de celui de la soie.
Imaginez à quel point il sera agréable de s'y glisser lorsque vous apercevrez un vent glacial secouer les branches des arbres devant chez vous, et qu'il sera temps de sortir l'affronter.
Son dessin s’inspire du mouvement des feuilles et de l'écorce des arbres dont le Lyocell provient.
Il a été réalisé en collaboration avec l'artiste Lucille Boitelle, spécialisée depuis plus de 10 ans dans la création de motifs pour la mode et la décoration haut de gamme.
La technique d'impression de la Maison Deveaux restitue des couleurs profondes, durables, et qui ne déteignent pas : c'est leur spécialité, certifiée ISO 105-X12 pour tout vous dire !
Aucun risque pour votre pull ou votre chemise blanche préférée.
Une dernière chose, cette impression est réalisée sans aucun produit chimique !
Et compte tenu de l'épaisseur du Lyocell que j'ai sélectionné (195 g/m2, soit plus de 50% de plus que la grande majorité des viscoses), il ne se froissera pas.
Pour que l'illustration soit toujours mise en avant, comme lors de votre premier essayage.
Rien de pire que de sentir craquer une doublure lorsqu'on enfile son manteau...
Le Lyocell dispose de longues fibres offrant une excellente résistance.
L'idéal donc pour limiter les risques de fonds de poches troués ou de déchirures aux aisselles.
Il est 3,5 fois plus solide que la viscose par exemple.
Pour tout vous dire, sa résistance est de 2,8 daN au test de déchirure, contre 0,8 seulement pour la viscose (d'après la norme ISO 13937/2).
Cette étoffe est également connue, comme la laine, pour avoir une grande capacité d’absorption d’humidité.
Elle permet donc de réguler la transpiration et de neutraliser les odeurs.
Les bactéries s'y développent 2 000 fois moins vite que sur des matières synthétiques, généralement utilisées pour des doublures.
Après une longue marche hivernale, d'un pas rapide, quel plaisir de ne plus avoir peur de découvrir des auréoles sur sa chemise lorsqu'il est temps de retirer son manteau !
En plus des 2 poches poitrine classiques à l’intérieur, j'ai ajouté une poche plus bas, sécurisée à l’aide d'une solide fermeture à glissière Riri.
Pour éviter que votre téléphone ne s'échappe (quelle que soit sa taille), ou que des doigts mal intentionnés viennent se servir.
C’est le fournisseur des plus grandes maisons, reconnu comme la Rolls-Royce des zips depuis 1936. Il viendra fermer l’une des poches intérieures du manteau.
Fait d’un beau métal, je l’ai choisi aux bords lisses pour éviter d'accrocher votre pull préféré !
Malheureusement, il n'est plus possible de trouver des fabricants de zips en France. Celui-ci vient donc de Suisse, dans un atelier voisin des horlogers les plus prestigieux.
Elle est issue de la caséine récupérée lors de la production du lait.
Ce bio-matériau a été découvert en France au XIXème siècle, et je l'ai déniché chez la mythique boutonnerie française CCR.
Elle se trouve Ă Â Couzon-au-Mont-d'Or, sur les berges de la SaĂ´ne au nord de Lyon, et confectionne des boutons pour les maisons les plus prestigieuses depuis 1929.
Cette matière naturelle et locale a malheureusement été souvent remplacée par le plastique au début du siècle dernier.
Pour des raisons économiques, au détriment de la solidité.
La Pierre de lait permet de concevoir des boutons extrêmement résistants, davantage même que la corne, tout en étant biodégradables, anti-allergiques, anti-statiques et sans odeur.
Leur résistance aux chocs est aussi strictement testée par CCR avant de vous être proposés.
Enfin, vous verrez que leurs nuances de couleurs sont profondes et raffinées, uniques à chaque pièce.
Il ne vous restera plus qu'à les faire délicatement glisser dans leurs solides boutonnières pour que la fraîcheur des jours ventés ne soit qu'un lointain souvenir...
Il s'agit de boutons plus petits (15mm) qui se trouvent à l'intérieur du manteau, aussi en Eco-Gala.
Ils permettent de répartir l'effort sur toute leur surface lors du boutonnage.
D’habitude, sur un bouton fixé directement sur la laine, le fil vient tirer sur une très petite zone d'à peine 2 ou 3mm (contre 15mm ici, soit au moins 5 fois plus).
Si vous vous souvenez de vos cours de physique, à force exercée égale, plus la surface est petite, plus la pression est grande.
Ce qui va donc fragiliser l'ensemble.
Personne n'aime voir son bouton passer au travers de la laine et laisser un trou.
Car ensuite direction le retoucheur pour tenter de trouver une solution, mais le mal est fait...
Avec ces contre-boutons, vous ĂŞtes tranquilles !
Soit un manteau droit, un classique qui conviendra à l'ensemble des déclinaisons.
Soit un croisé, qui se mariera parfaitement avec un col large et un manteau long.
L'idéal pour être au chaud tout l'hiver avec 20% de laine en plus, au même tarif !
Soit des manches montées, pour marquer votre silhouette avec une pièce élégante et intemporelle.
Soit des manches raglan, pour un manteau qui accompagnera vos mouvements.
Soit un col fin, élégant.
Le plus polyvalent, que ce soit avec une tenue habillée ou plus décontractée.
Soit un col large, parfait pour être remonté, effleurer votre cou et vous tenir au chaud lors des hivers les plus rudes.
Soit un col Loden, typique du manteau du mĂŞme nom.
Un petit morceau d'histoire chaque jour avec vous.
Soit des poches passepoilées, les plus classiques, internes avec rabat.
Peu importent les déclinaisons, elles iront avec tout.
Soit des poches plaquées, externes sans rabat, pour un style plus informel.
Soit des poches en biais, les plus pratiques pour y glisser facilement ses mains en cas de grand froid.
Soit une longueur classique, qui vous conviendra à coup sûr, quelle que soit votre taille.
Soit un manteau plus long, pour jouer avec les volumes et avoir les jambes au chaud.
Soit une longueur classique, correspondant aux standards des manteaux pour hommes.
Soit des manches plus courtes de 5cm, adaptées aux standards des manteaux pour femmes.
Il ne vous suffira qu'Ă confirmer la vĂ´tre Ă partir de mon tableau de mesures.
Soit une largeur poitrine classique, qui sera similaire aux standards des manteaux pour hommes.
Soit une poitrine plus large de 5cm, comparable aux standards des manteaux pour femmes.
Cette fois encore, mon tableau de mesures vous guidera.
Soit un camel lumineux, pouvant Ă la fois s'adapter Ă des tenues dans les tons de bleu, de noir ou de couleurs chaudes.
Une teinte d'une rare polyvalence : un pull bleu marine et un jean brut, pas de risque d'erreur.
Une chemise blanche et un costume gris anthracite : parfait aussi !
Soit un bleu marine aux reflets intenses, prenant parfaitement la lumière pour mettre en valeur des nuances subtiles.
Il s'assemblera parfaitement avec un pull bordeaux, un jean brut et une paire de sneakers blanches.
Vous ne prendrez pas de risque non plus avec des chaussures marron.
Soit un gris anthracite profond et texturé.
Le grand classique de votre armoire, à la fois élégant et équilibré, que vous pourrez simplement associer avec un sweat et un pantalon sombre.
Un assemblage coloré avec un pull bordeaux ou camel, ou une chemise bleu clair : ça fonctionne également.
Soit un vert sapin aux reflets bleutés, la couleur signature que je souhaitais faire dès mon premier lancement !
Une teinte rare qui viendra ajouter un petit plus Ă toutes vos tenues hivernales.
Nous l'avons conçue sur-mesure avec les équipes de Jules Tournier, selon un procédé complexe qu'ils ont accepté de déployer pour soutenir mon projet.
Pour l'associer, rien de plus simple : suivez les mĂŞmes conseils qu'une laine bleue marine.
Soit un taupe chiné, à l'irrégularité maîtrisée.
Une nouvelle couleur signature pour cette année, associant la chaleur du camel à l'intemporel du gris anthracite.
La teinte idéale pour apporter de l'originalité à votre vestiaire, sans prise de risque !
Pour 20€, ajoutez une ceinture confectionnée dans la même laine que le manteau.
Elle s'adaptera particulièrement avec les modèles croisés qu'elle viendra fermer par grand froid.
Tenue par 2 passants sur les côtés, il vous sera facilement possible de la retirer si vous le souhaitez.
Pour 20€ également, ajoutez une boutonnière en bas des manches, fonctionnelle bien sûr et non juste décorative.
Proposée avec les mêmes boutons français que le manteau, c'est le détail des puristes.
Un peu d'histoire : la boutonnière fait son apparition au XIXe siècle au Royaume-Uni, dans le célèbre quartier Savile Row à Londres, à cette époque principalement habité par des médecins.
Pour que les chirurgiens en intervention évitent de tacher leurs vestes, les tailleurs londoniens y ont ajouté des boutons, permettant aux manches d'être facilement retroussées.
Depuis, celles qu'on appelle également les "Surgeon Cuffs" sont synonymes de pièces de tailleurs haut de gamme, soigneusement travaillées.